Ban Ki-moon a été réélu mardi 21 juin à l’unanimité des membres de l’Assemblée générale des Nations unies secrétaire général pour un second mandat de cinq ans, qui débutera le 1er janvier 2012.
Cet ancien ministre des Affaires étrangères de Corée du Sud, qui a succédé au Ghanéen Kofi Annan en janvier 2007 à la tête des Nations unies, a été réélu par acclamation par les 192 membres de l’Assemblée générale. Il est âgé de 67 ans.
Aucun candidat ne se présentait contre lui.
Né en 1944 dans une famille d’agriculteurs, quelques mois avant la fin de l’occupation japonaise de la péninsule, Ban a rejoint le ministère sud-coréen des Affaires étrangères en 1970, après des études universitaires où il s’est spécialisé dans les relations internationales.
Il a ensuite grimpé tous les échelons de la diplomatie pour devenir ministre en janvier 2004. Il a décroché un master d’administration publique à Harvard et a détenu lors de sa carrière plusieurs postes diplomatiques en lien direct avec les Nations unies. En 2001, il était chef de cabinet du président de l’Assemblée générale, son compatriote Han Seung-soo.
La représentante permanente des Etats-Unis à l’Onu, Susan Rice, a salué la réélection de Ban Ki-moon, estimant qu’au cours de son premier mandat, il avait assumé "l’un des postes les plus durs au monde".
"Nul ne comprend mieux que lui les fardeaux de sa fonction", a-t-elle ajouté, en soulignant que Washington lui était "reconnaissant de les accepter".
A Paris, l’Elysée a déclaré dans un communiqué que Nicolas Sarkozy se félicitait de cette "brillante réélection".
Nicolas Sarkozy "tient à remercier M. Ban Ki-moon pour l’engagement qu’il a démontré tout au long de son premier mandat au service de l’organisation et en faveur de la paix et de la sécurité internationales".
Il a souligné que la France accordait "toute sa confiance et son soutien" au secrétaire général "pour la poursuite de ses efforts au cours des cinq prochaines années".
Il est courant que le secrétaire général de l’Onu effectue deux mandats de cinq ans, même si cette règle non écrite a souffert au moins une exception: l’Egyptien Boutros Boutros-Ghali a quitté ses fonctions au terme d’un mandat, en 1996, les Etats-Unis lui retirant leur soutien car estimant qu’il n’avait pas été à la hauteur de sa mission lors de la guerre de Bosnie.
Aucun candidat ne se présentait contre lui.
Né en 1944 dans une famille d’agriculteurs, quelques mois avant la fin de l’occupation japonaise de la péninsule, Ban a rejoint le ministère sud-coréen des Affaires étrangères en 1970, après des études universitaires où il s’est spécialisé dans les relations internationales.
Il a ensuite grimpé tous les échelons de la diplomatie pour devenir ministre en janvier 2004. Il a décroché un master d’administration publique à Harvard et a détenu lors de sa carrière plusieurs postes diplomatiques en lien direct avec les Nations unies. En 2001, il était chef de cabinet du président de l’Assemblée générale, son compatriote Han Seung-soo.
La représentante permanente des Etats-Unis à l’Onu, Susan Rice, a salué la réélection de Ban Ki-moon, estimant qu’au cours de son premier mandat, il avait assumé "l’un des postes les plus durs au monde".
"Nul ne comprend mieux que lui les fardeaux de sa fonction", a-t-elle ajouté, en soulignant que Washington lui était "reconnaissant de les accepter".
A Paris, l’Elysée a déclaré dans un communiqué que Nicolas Sarkozy se félicitait de cette "brillante réélection".
Nicolas Sarkozy "tient à remercier M. Ban Ki-moon pour l’engagement qu’il a démontré tout au long de son premier mandat au service de l’organisation et en faveur de la paix et de la sécurité internationales".
Il a souligné que la France accordait "toute sa confiance et son soutien" au secrétaire général "pour la poursuite de ses efforts au cours des cinq prochaines années".
Il est courant que le secrétaire général de l’Onu effectue deux mandats de cinq ans, même si cette règle non écrite a souffert au moins une exception: l’Egyptien Boutros Boutros-Ghali a quitté ses fonctions au terme d’un mandat, en 1996, les Etats-Unis lui retirant leur soutien car estimant qu’il n’avait pas été à la hauteur de sa mission lors de la guerre de Bosnie.
(Reuters)
Source: Congoindépendant 2003-2011, du 21/6/2011
Source: Congoindépendant 2003-2011, du 21/6/2011
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