Sunday, February 20, 2011

AFRIQUE: L’Afrique en feu et en sang.

LES POUVOIRS des GOUVERNEMENTS CORROMPUS SANGUINAIRES
TORTIONNAIRES du NÉOCOLONIALISME FONT RAGE en TUNISIE, en
ÉGYPTE, au CAMEROUN, aux COMORES, à MADAGASCAR, en ALGÉRIE, au
MAROC, en LIBYE, au GABON, au NIGERIA, en REPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE du CONGO, au TCHAD, en CENTRAFRIQUE ; l’AFRIQUE en feu et en sang.

OÙ est DONC le FAMEUX CONSEIL de SÉCURITÉ des NATIONS UNIES, où est

aussi, également, la mascarade fantoche CONSEIL de PAIX et de SÉCURITÉ de

l’UNION AFRICAINE, où se cache donc le génocidaire CONSEIL de la soi-disant UNION ARABE ?



Aussi, ces fossoyeurs des Droits des Peuples à disposer d’eux-mêmes, selon

GARIBALDI resté symbole du combat historique pour l’unité italienne, sont désormais

placés devant le Tribunal de l’Histoire après la faillite désastreuse des Nations Unies, de

l’Union Africaine, de la Ligue Arabe, dangereusement coupables de non assistance à peuples

en danger, sous la férule des criminels au pouvoir pendant 50 ans.



Enfin, c’est ainsi que les populations affamées, précarisées, marginalisées,

esclavagisées, persécutées par les pouvoirs néocoloniaux corrompus en Afrique, productrice

d’or, de diamant, de manganèse, de cuivre, de bauxite et autres matières précieuses et riche

d’une agriculture diversifiée, dotée de longs fleuves navigables et de rivières toujours

convoités, sont toujours livrées à la violence, à l’autodestruction, tirant sur tout ce qui bouge,

« ventre affamé n’ayant point d’oreilles ».



Les « fameux CASQUES BLEUS et les CASQUES NOIRS » ont failli sous la responsabilité coupable des « CASQUES BLANCS ».



Ainsi, les peuples désespérés en appellent désormais aux « CASQUES

ROUGES ». L’Afrique, Berceau de l’Humanité, marginalisée, se meure.



Pourtant, que faire ?



RAPPEL DES SIX IMPERATIFS

de la Société Savante des Encyclopédistes africains de 1990.

LES SIX IMPERATIFS DE REPARATION DE L’EUROPE ESCLAVAGISTE GENOCIDAIRE


Premier Impératif :



Proclamation solennelle par les Nations Unies de l’esclavage, de la traite

d’êtres humains notamment des noirs, du partage de l’Afrique, de la colonisation et du

génocide comme crime contre l’Humanité conformément aux sentences du Jury international

de Fort-de-France que nous avons organisé les 10, 11 et 12 Décembre 1993 au Cercle Frantz

Fanon. Sous la pression de notre combat historique, la France et l’Etat du Vatican viennent

d’inscrire cette reconnaissance de leur crime contre l’Humanité dans le nouveau chapitre de

leur histoire respective. Nous veillerons à ce que cette histoire soit désormais enseignée dans

les écoles de toutes les nations pour la mémoire collective, partie intégrante du patrimoine

général de l’Humanité.



Deuxième Impératif : Proclamation solennelle sous l’égide des Nations Unies réorganisées et

équilibrées du pardon de l’Europe, des U.S.A., du Moyen-Orient et du Vatican génocidaires à

l’Afrique pour l’avoir colonisée et pillée.



Troisième Impératif : Création d’une Commission internationale d’évaluation et de compensation des

destructions et des dégâts ou préjudices causés à l’Afrique et aux peuples noirs du fait du

génocide Euro - U.S.A. et du Moyen-Orient esclavagistes.

Mise en place d’une Commission internationale d’évaluation de ces dommages

et préjudices en établissant une procédure d’indemnisation.



Quatrième Impératif : Modification, refonte et équilibrage des structures et institutions des Nations

Unies, notamment le Conseil de Sécurité disposant de cinq membres dont un par continent,

corrigeant ainsi l’accaparement d’un siège par la seule Amérique du Nord (U.S.A.), au

détriment de l’Amérique latine et du siège revenant au Continent Asiatique par la Chine toute

seule, en fait, quel crime d’avoir ignoré l’existence de deux continents « l’Afrique et

l’Australie ». C’est, depuis une dizaine d’années déjà que les encyclopédistes africains, en

liaison avec les différentes organisations des peuples noirs et de la diaspora ont inscrit ce

point d’interpellation dans leur programme de combat pour la réhabilitation et le

développement de l’Afrique.


Cinquième Impératif : Création d’une Commission internationale pour la réécriture de l’Histoire de

l’Humanité basée sur la nouvelle physionomie du monde ainsi réorganisé et rééquilibré,

condamnant devant le nouveau tribunal de NUREMBERG tous les dirigeants au pouvoir dans

les gouvernements européens et nord-américains et arabes esclavagistes lors du partage et de

la colonisation de l’Afrique, de l’Amérique latine et de l’Asie pour génocide et crime contre

l’Humanité :

- Division et partage du Cameroun, du Congo, de la Guinée, du Niger, du Viêt-Nam, de la

Corée, de la Guyane, des Antilles pour ne citer que les plus barbares des crimes de la

colonisation européenne, sans oublier le crime de déportation contre le peuple palestinien

et la persécution nazie et l’holocauste juif.

- Installation du système criminel d’apartheid en Afrique du Sud.

- Ségrégation raciale criminelle aux U.S.A.,

Sont autant de conséquences du crime de génocide liées à la traite des noirs et à la

colonisation…



Sixième Impératif : Création sous l’égide des Nations Unies d’une banque internationale pour la

Reconstruction et le Développement de l’Afrique aux fins de réparation des dégâts et

préjudices causés par la traite des noirs, la colonisation et le pillage des ressources naturelles

de ce continent par les puissances coloniales européennes et leur allié nord-américain,

inversant ainsi ce que l’escroquerie mondiale appelle l’endettement des pays sous-développés,

le sous-développement étant à son origine le résultat du pillage esclavagiste, le partage et la

colonisation que perpétuent, depuis 1960, date des Indépendances Africaines, les pouvoirs

néocoloniaux et antidémocratiques.

Les thèses de la Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme pour

la reconstruction et la renaissance nationales



Thèse I : La bonne gouvernance politique. Réconciliation et reconstruction

nationales.

- La nature du système politique camerounais : République laïque démocratique

une et indivisible anti- tribaliste et panafricaine.

- Système électoral : Elaboration d’une Charte nationale et création d’un

Observatoire de la démocratie et de la bonne gouvernance transparente alternante

au Cameroun pour la justice et le développement durable contre la corruption et

l’impunité. Code de bonne conduite. Egalité hommes – femmes dans le système de

représentation nationale. Système électoral obligatoirement à deux tours, limitation

des mandats des élus, contrôle des biens et patrimoine des élus au début et à la fin

de leur mandat.

Thèse II : La bonne gouvernance économique. Inventaire de l’économie camerounaise :

Etat des lieux et gestion. Industrie et agriculture – richesses naturelles du sol et du sous-

sol (problèmes particuliers du pétrole, gaz, électricité, eau, manganèse, or, bauxite….).

Thèse III : La bonne gouvernance militaire. Réorganisation de la défense nationale :

Armée – police – gendarmerie et protection civile.

Thèse IV : La bonne gouvernance socioculturelle :

- La refonte du système éducatif national : une nouvelle philosophie de l’éducation

de base, de l’école et de l’apprentissage pour tous (pas de village sans école).

- Recherche fondamentale et appliquée, formation et développement scientifiques,

techniques et technologiques.

- Création des grandes écoles nationales polytechniques : Mines, Ponts et

Chaussées.

- Création des institutions universitaires, pédagogiques et des écoles

d’administration et de gestion polytechniques.

Thèse V : Coopération internationale et solidarité. Structures des consulats et

ambassades. Rayonnement du Cameroun. Le rôle primordial de la diaspora.

Thèse VI : Communication et multimédias. Le régime de la presse et de l’information

au Cameroun. Primauté de l’indépendance de la presse. Liberté d’opinion, d’expression,

de circulation des biens et des personnes.

Thèse VII : La jeunesse, les personnes vulnérables. Droits de l’enfant, de la famille et

des personnes âgées.

Thèse VIII : La représentation nationale de la diaspora camerounaise au plan

national et au plan international (Consulats et Ambassades). Recensement de la

diaspora camerounaise à travers le monde. (Ce qu’elle est, ce qu’elle fait, comment elle

vit, etc…).

Thèse IX : La société civile camerounaise sous son acception socio- politique et socio-

économique.

Thèse X : L’indépendance de la justice et la séparation des pouvoirs. Création d’un

Observatoire des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales. Création d’une

Fondation nationale des Droits de l’Homme et de la Paix. Réparations dues aux victimes

de 40 années de génocide du système tortionnaire néocolonial. Le pardon exigé des

bourreaux (exemple : Afrique du Sud) POUR QUE PLUS JAMAIS CA !

Thèse XI : Santé publique. Observatoire national contre le VIH – SIDA et lutte contre

les pandémies (paludisme, lèpre, etc…) et l’institution d’une politique sanitaire de santé

pour tous. Recherche médicale et valorisation de la pharmacopée nationale.

Thèse XII : Protection de l’environnement, des écosystèmes et du cadre de vie

(Forêts, eau, faune, flore) - Education environnementale.



Thèse XIII : Création des Académies nationales : Académie de Médecine, Académie

des Sciences techniques et technologiques, Académie des Lettres et des Langues,

Académie des Arts et des Métiers, Académie Militaire, Académie de la Marine, Académie

de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, Académie spécialisée des Sports et de la

Musique pour la performance nationale.

Thèse XIV : Création des grandes bibliothèques nationales, régionales,

départementales, communales hautement informatisées. Création de musées communaux,

départementaux, régionaux, nationaux.

Thèse XV: Création d’un Panthéon à la mémoire des grandes figures mortes pour la

patrie.

Thèse XVI : Institutionnalisation des Prix Nationaux d’Excellence, de Performance et

d’Emulation dans tous les domaines de la connaissance pour le rayonnement national.



Professeur Kapet de BANA,

Coordinateur International du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine,

Président fondateur de la Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme,

Membre fondateur et Président d’Honneur de l’Union Interafricaine des Droits de l’Homme,

Chargé de mission en tant qu’en Ambassadeur itinérant,

Ancien conseiller du Gouvernement de la Côte d’Ivoire

du Président Houphouët BOIGNY,

Ancien conseiller du Gouvernement algérien du Président BEN BELLA,

Ancien membre de la délégation camerounaise à l’Assemblée Générale

des Nations Unies consacrée à la réunification et l’indépendance

du Cameroun (16ème session spéciale – 1115ème séance) New York, Avril 1961.



AMPLIATION

- Union Africaine

- Gouvernements africains

- Union Européenne

- Gouvernements européens

- Nations Unies

- Conseil de sécurité des Nations Unies

- UNESCO

- PNUD

- OMS

- Presse africaine et internationale

Organisations de défense des Droits de l’Homme :

- Amnesty International

- Fédération Internationale des Ligues des Droits de l’Homme (F.I.D.H.)

- Union Interafricaine des Droits de l’Homme (U.I.D.H.)

- Action des Chrétiens pour l’Abolition de la torture (A.C.A.T.)

- Human Rights Watch (H.R.W.)

- Ligue Internationale contre le racisme et l’antisémitisme (L.I.C.R.A.)

- Et autres intéressés.

OMMUNIQUÉ de PRESSE du CONSEIL MONDIAL de la DIASPORA PANAFRICAINE.


COORDINATION INTERNATIONALE PERMANENTE – DELEGATION en FRANCE

85, boulevard Saint – Michel - 75005 – PARIS - tél/fax : (+33) 143.258.050.

« Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org Chargé de mission : Victor TOKAM : tokamkaptu@orange.fr

Correspondance nationale :

- Fondation panafricaine des devanciers, héros et martyrs : Douala- Tel : 77 67 50 46/ 99 20 09 06 – acrpac@yahoo.fr

- Observatoire des Droits de l’Homme: Yaoundé – Cameroun tél. : +237. 976.00.56 –

- Courriel : hrm_odh@yahoo.fr Site : www.odh.cmonsite.fr

- OS-CIVILE – Organe de la Société Civile - BP. 3 Kousseri. Cameroun

Tél. (00237) 675 06 77/602 94 07 - Cameroun. : os_civile@yahoo.fr

- Correspondance à Genève : Association Maison de l’Afrique à Genève (MAGE) :

19, rue du Perron - 1204 Genève – Suisse tel : +41 22 311 26 30 +41 70 633 38 33 – mail : info@maison-afrique-geneve.org

Secrétariat permanent international : Anne Marie POTTIER : africa@smol.org



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Source:  Communiqués, du 20/02/2011

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