Une coalition des miliciens Maï-Maï et rebelles des Forces démocratiques pour
la libération du Rwanda (FDLR) a attaqué, ce lundi matin 21 mai, le camp
militaire de Luofu dans le territoire de Lubero au Nord-Kivu, a indiqué le
colonel Mugabo, commandant du cinquième secteur FARDC basé dans ce
territoire.
Selon les sources locales, les tirs sporadiques étaient encore entendus dans la mi-journée dans les forêts environnantes de la localité de Luofu, une localité située à une trentaine des Kilomètres au sud de Lubero. Le calme est revenu ce soir.
Selon des sources locales, l’attaque est intervenue aux environs de 8 heures locales et les affrontements ont duré près de deux heures.
Ces informations ont été confirmées par les sources militaires. Selon le colonel Mugabo, commandant du 5eme secteur des FARDC basé à Lubero, la «coalition Maï-Maï-FDLR a été mise en déroute par les FARDC ».
Il a annoncé l’arrestation de quatre assaillants et la récupération d’une arme de guerre au cours de ces affrontements. Mais il n’a pas donné de bilan enregistré dans les rangs de l’armée régulière.
Selon les sources locales, les tirs sporadiques étaient encore entendus dans la mi-journée dans les forêts environnantes de la localité de Luofu, une localité située à une trentaine des Kilomètres au sud de Lubero. Le calme est revenu ce soir.
Selon des sources locales, l’attaque est intervenue aux environs de 8 heures locales et les affrontements ont duré près de deux heures.
Ces informations ont été confirmées par les sources militaires. Selon le colonel Mugabo, commandant du 5eme secteur des FARDC basé à Lubero, la «coalition Maï-Maï-FDLR a été mise en déroute par les FARDC ».
Il a annoncé l’arrestation de quatre assaillants et la récupération d’une arme de guerre au cours de ces affrontements. Mais il n’a pas donné de bilan enregistré dans les rangs de l’armée régulière.
En février dernier, la société
civile locale de avait déploré l’insécurité
dans plusieurs localités de Lubero, notamment à Muhanga, Bunyatenge et les
périphéries de Kasuo. Cette insécurité, entretenue par la présence des Maï-Maï
et FDLR, pousse les populations de ces contrées à affluer vers l’est, notamment
vers d’autres localités riveraines du Parc de Virunga, qu’elles jugent plus
sûres.
Source: Radio Okapi, Dernière mise à jour le 22 mai, 2012 à 5:27
No comments:
Post a Comment